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17 août 2011, par Xavier Leton
L’amour du pouvoir à consommer.
« C’est ici »,
vous y êtes
La lente ascension du coq.
La chute du chien.
la lenteur du coq garantit
que jamais
rien ne change, ni de lieu, ni de temps. Patte après patte,
le minuscule « a_volatil »,
entame une marche immobile, nourrissant sa gloire, de la chaire à tuer et à vendre, de son impuissance à prendre son essor, (…)
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15 août 2011, par Xavier Leton
« Summer of Love on the RdR », parlait d’amour,
mais pas uniquement.
« Balade islandaise », parlait de balade,
mais pas uniquement.
« Côte d’ivoire - année zéro », parlait d’amour et de voyage,
mais pas uniquement. Voici « ...Vous êtes Ici... », sachant que vous êtes sur Internet donc sur un flux. Si il cesse, il vous laissera « perdus », « nulle part »,
mais pas (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Bruxelles
Bruxelles est le début de la création des Villes.Allant.Vers. Elle fait suite à une autre création intitulée "Réclusion Volontaire". Il s’agissait de vivre de créer dans les musées, jour et nuit, sous la surveillance des caméras et des visiteurs, mettre en péril ces surveillances et ces modes d’enfermements.
Très tôt, il m’est apparu qu’il fallait sortir. La surveillance était (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Pas_sage piéton :
Qu’est-ce qui peut faire peur à un enfant dans un hôtel ? Pourquoi cet hôtel du Panier, à Marseille, fait-il peur ?
L’hôtel est sur le chemin de notre « parcours commun ». Depuis le début des VillesAllantVers_Marseille dans ce quartier, l’hôtel est un espace particulier. La chambre d’hôtel est le lieu où vivent certains des élèves, d’autres squattent.
L’hôtel est une (…)
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26 août 2011, par Xavier Leton
J’édite à nouveau ce texte issu d’une nouvelle épistolaire. C’est la dernière lettre de cette nouvelle — mauvaise nouvelle ? C’est bientôt le dernier texte de cet « édito_d’été ».
Cette lettre marque la fin d’une histoire. C’est un coude plié qui tend la main vers le clavier. Les doigts face au désordre des lettres du clavier C’est le début d’une fin. Parce la fin dure longtemps. (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Édito estival : fin - Je plie la serviette, la secoue pour enlever le sable, la plie à nouveau. Des bouts de papiers sur lesquels j’avais écrit quelques mots. Ils s’envolent. Je cours après le vent. La Brise les colle sur la vitre d’un pare brise. Elle me les donne assemblés dans ce désordre. Ils présentent la réalisation des « VillesAllantVers ». Cette création transforme les trajets que nous (…)
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19 août 2011, par Xavier Leton
je prends, à nouveau...
J’aime le désordre,
l’amour le crée.
[...]
« Chaque couple, quel qu’il soit, comporte un troisième personnage continuellement présent. [...] Avec ou sans ami de la femme, avec ou sans amie de l’homme, avec ou sans souvenirs écrasants, paternels ou maternels, avec ou sans enfants, avec ou sans nette perspective d’ouverture, les deux partenaires de chaque (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Pas_Sage Piétons :
« Respect » pour ceux qui parlent dessinent peignent racontent pour ceux qui se taisent.
Si les « Tag’s », les signatures sont dessinés sur les bornes les bancs, et plus si affinités ; les graffiti sont dessinés à la périphéries du quartier. Les derniers murs aveugles du quartier tournent leur regard vers l’autoroute et le « Stade Olympique », les fresques urbaines ont (…)
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22 août 2011, par Xavier Leton
Avez-vous vu ?
Le ricochet...
La pierre plate de mots rebondit à la surface de votre écran.
C’est à nouveau, un corps chargé d’images...
Non, vous n’avez rien vu.
Vous avez raison :
Nous n’avons rien trouvé, les réponses changent tout le temps.
Je vous sens perdu(e). Allons, reprenons, vous êtes ici
Un corps chargé d’images,
silencieux,
puis vider les mots (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Pas_Sages Piétons :
Est-ce un point de rencontre[S] ?
C’est un espace partagé, par-delà la « frontière ». Un lieu où nous nous retrouvons ensemble. Avant de partir en courant pour partager cet ensemble, ailleurs ?
Bien sûr, il y a la « frontière » transgressée, l’interdit. Celui que nous emportons, ce que nous emportons, ce qui nous fait courir et revenir ici, à ce point de (…)