Buffon fut un grand naturaliste. Mais en dépit de la qualité de ses observations, il met un peu mal à l’aise le lecteur moderne qui ne retrouve plus dans l’image du chat — dont Buffon semble hériter des siècles précédents — celle de cet animal devenu non plus domestique mais familier pour lui.
Le discours de Buffon sur la fausseté des chats, leur propension à faire le mal alors que le (…)