- 2 juillet 2009, par Elizabeth Legros Chapuis
Dans le paysage artistique du Mexique contemporain, le peintre et sculpteur José Luis Cuevas occupe une place tout à fait particulière. Une notoriété précoce acquise essentiellement à l’étranger, une relation ambivalente avec son pays d’origine, une personnalité de leader et de provocateur font de cet artiste inclassable une figure qui provoque l’attention.
En l’année 2008, il se trouve sur (…)
- 28 mai 2009, par Philippe Didion
Pour commencer, il faut revenir sur une ancienne notule parue dans le n° 242 dont voici la copie :
Je viens à bout d’un travail qui m’a occupé quotidiennement ces cinq dernières années : un fichier contenant la totalité des films que j’ai vus à la télévision ou au cinéma avec leur distribution complète. C’est en fait un chantier beaucoup plus ancien puisque ce doit être en 1975 ou 76 que (…)
- 17 février 2009, par David Christoffel,
Frédéric Dumond
Frédéric Dumond travaille la langue comme expérience. David Christoffel travaille parole et musique comme distincts. Ils sont nés les 30 août 67 et 76. L’un et l’autre s’intéressent aux interférences entre le texte et ses usages médiatiques. Leurs productions sont listées sur leurs sites http://fredericdumond.free.fr et http://www.dcdb.fr. Leur première rencontre a donné lieu à ce (…)
- 5 décembre 2008, par Denitza Bantcheva
Plusieurs constantes de l’univers de Clément convergent pour faire de ses personnages typiques des cas permettant de s’interroger sur l’identité humaine. Le thème de l’étranger, dont nous avons déjà noté l’omniprésence chez le cinéaste, constitue en quelques sortes l’aspect externe et le plus visible du problème : d’un film à l’autre, à quelques exceptions près, nous avons affaire à des (…)
- 4 décembre 2008, par Maud Piontek
Où l’on comprend enfin ce que signifie "roman graphique"... De mal en pis (Box Office Poison) est le premier "graphic novel" de l’américain Alex Robinson, publié en 21 fascicules par Top Shelf en 1996. Ces fascicules seront compilés en un volume qui sera nommé aux prix les plus prestigieux tels les Harvey Award, Eisner Award, Ignatz ou Firecracker Book Award... mais sans en remporter aucun ! (…)
- 8 février 2007, par Stéphane Tirilly
Le héros, Paul Dédalus, a dix ou onze ans. Un après-midi, il entreprend d’écrire un roman, un récit d’aventures qui décrirait une vie rêvée, avec des histoires de pirates et de trésors. Dans le préambule qu’il parvient à rédiger (cinq lignes d’après son souvenir, un peu plus d’après l’image que nous propose le cinéaste), il commence par régler ses comptes avec la vie réelle, avec sa famille de (…)
- 30 de noviembre de 2006, por Victor Montoya
Recordado comandante:
El 8 de octubre de 1967, después de librar tu último combate en el cañadón del Churo y caer a merced de tus enemigos, la pierna herida por un tiro y la garganta desgarrada por el asma, tu diario de campaña y otros documentos escritos con tu puño y letra, quedaron en poder de las Fuerzas Armadas. Es decir, pasaron de tu mochila de cuero a una caja de zapatos, que fue (…)
- 30 novembre 2006, par Victor Montoya
Mémorable Commandant :
Le 8 octobre 1967, ton journal de campagne ainsi que d’autres documents rédigés de ta main se retrouvèrent en possession des Forces Armées après que tu eus livré ton dernier combat à la faille du Churo et fus tombé à la merci de tes ennemis, blessé par balle à la jambe et la gorge irritée par l’asthme. Ils passèrent pour ainsi dire de ton sac de cuir à une boîte de (…)
- 24 avril 2006, par Xavier Zimbardo
Il faut tordre le cou à une certaine dérive de l’art contemporain qui le conduit dans une impasse.
Quand le mouvement dada a levé l’étendard de la rébellion, quand Marcel Duchamp a exposé son « Urinoir », c’était en réaction à la gigantesque boucherie de la Grande Guerre. « La guerre mondiale dada et pas de fin. La révolution dada et pas de commencement. » Il s’agissait de s’attaquer à tout (…)
- 3 avril 2006, par Xavier Zimbardo
Tous les hommes rêvent, mais pas de la même façon. Ceux qui rêvent la nuit dans les recoins poussiéreux de leur esprit s’éveillent au jour pour découvrir que ce n’était que vanité ; mais les rêveurs diurnes sont des hommes dangereux, ils peuvent jouer leur rêve les yeux ouverts, pour le rendre possible. T.E Lawrence
Il était une fois un instituteur nommé Angelo Martin. La cité où il avait (…)