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1er septembre 2011, par Aliette G. Certhoux
Postamour - 3[[------------------------------ ------------------------------ POSTAMOUR : mot viatique n°1276 qui indexe les 10 articles de la ligne thématique du 29 août au 11 septembre, fédérée par l’éditorial "Des femmes qui chantent pour un homme", et clôturant le cycle bimensuel de l’été 2011 de La RdR (La Revue des Ressources). A. G. C.
Keyword # 1276 to index listing the 10 thematic articles (...)
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9 octobre 2010, par Aliette G. Certhoux,
Damien Spleeters
Il y a en cette demeure
un esprit emprisonné qui rêve de s’évader. *
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Part maudite et activisme littéraire
PRÉSENTATION
Damien Spleeters (né à Montignies-sur-Sambre le 9 avril 1986, près de Charleroi, en Belgique) est un jeune poète et romancier publié en Europe francophone pour ses ouvrages de librairie, lauréat du Prix Indications du Jeune Critique 2007 (attribué à son premier roman (...)
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14 juin 2011, par Aliette G. Certhoux
Extrait de l’email du 12 juin 2011 envoyé par Fred Vargas aux soutiens de Cesare Battisti où elle confirme et commente la libération de celui-ci au Brésil, le 8 juin 2011 :
« [...] Pardonnez-moi de ne pas vous avoir écrit plus tôt, mais les jours qui ont suivi cette nouvelle ont été très surchargés. Cette victoire n’est pas mince puisqu’elle a été obtenue par six voix contre trois au sein du Tribunal (...)
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21 juillet 2010, par Aliette G. Certhoux
1 MAI 2009 : PASSAGE DU CHAT DE CHESTER ÉVIDEMMENT EN CONCLUSION. À propos de L’esprit du nihilisme : Une ontologique de l’Histoire, de Mehdi Belhaj Kacem ; collection "Ouvertures", éditions Fayard, Paris ; mars 2009.
Avertissement : Dans le cadre de la rubrique "Carte blanche", cet essai a donné lieu à la performance expérimentale publique de son évolution vers sa version définitive, en temps réel (...)
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29 août 2011, par Aliette G. Certhoux
Postamour - 1. Éditorial post-estival.
Deux femmes glorieuses chantent pour un homme ; les mains en visière protégeant leurs yeux face aux sunlights, elles cherchent à repérer le leur, assis en bonne place ou en aparté parmi le public qu’elles fascinent. De ces hommes elles sont mortes. Ainsi, de femme en homme et d’homme en femmes, où les places sont interchangeables, de désastre humain en bagne (...)
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24 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
IV. LE PLANCHER DES VACHES
Dalilah, Douanier, Panama, Blonde (Zip), Fred, Camel, Vincent.
7. Vogue le navire
8. Arrivée de l’« Agadir » à Sète
9. La gifle
10. En Camargue
Le plancher des vaches — 7. Vogue le navire
À l’aube, la silhouette de l’« Agadir » navigue comme s’il se reposait sur une mer d’huile.
Le pont est désert, excepté un passager. L’homme au PANAMA (...)
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2 août 2010, par Aliette G. Certhoux
En août, on cuit les carottes sur le grill à la belle étoile.
Dédicace à Aimé Césaire.
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D’abord ///
Quand nos amis festivaliers ont quitté Paris en été pourtant la ville est tendre aux sens des flâneurs dans la tiédeur du soir aux terrasses, sous l’azur transparent du bleu pommelé, intense après le couchant... Des quelques euros nécessaires, — plutôt davantage — malgré (...)
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28 novembre 2008, par Aliette G. Certhoux
TARNAC, JE VOULAIS DIRE...
Il y a quelque chose d’hétérogène dans l’affaire de Tarnac qui rend la situation inclassable : on n’appelle pas l’hétéronomie (le principe de la vie), elle advient ou n’advient pas, or elle advient ; elle n’est qu’un fruit des circonstances et c’est bien pourquoi elle est fragile. A l’appeler on la fait fuir, à tenter de l’instrumenter on provoque le contraire : des (...)
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4 juin 2013, par Peer C. Hansen,
Ken McKenzie Wark,
Aliette G. Certhoux
Voici le cas particulier de notre temps, le temps de désintégrer le spectacle. Le détournement s’est avéré un énorme mouvement social et global, en tout sauf le nom. Des millions de personnes sont là, à partager la culture pour une raison ou pour une autre, à partager des fichiers et à les refaire. Mais il y a deux problèmes en soi. D’abord, la refonte — le détournement — n’est pas critique. Cela ne (...)
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26 septembre 2014, par Aliette G. Certhoux
Est-ce une hallucination ? L’otage français est mort. « Parce qu’il est français », a dit le Président s’adressant aux français depuis les États-Unis où il a fait migrer une partie de son gouvernement et la maire de Paris pour quelques jours.
Non, pas parce qu’il est français : parce qu’on fait la guerre et c’est sans rançon, comme d’autres il y a longtemps purent dire « pas de prisonniers ». En outre, (...)